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LA MAIEUSTHESIE

Une méthode psychothérapeutique élaborée par Thierry Tournebise

Cette pratique repose sur le fait que lorsqu’un être se sent accueilli, entendu et compris, il accède à ses propres ressources pour parvenir à un « mieux être ».

 

La maïeusthésie se penche très peu sur l’histoire mais plutôt sur l’être qu’on était lors du trauma, valide ce qu’il a ressenti en terme de qualité et de quantité (ce qu’il ressent et à quel point ; quels mots lui viennent). Cette validation existentielle est thérapeutique. Cette chaleureuse rencontre intérieure et la reconnaissance que cela implique est naturellement réparatrice.


On s’aperçoit que c’est l’être que l’on était qui, jadis clivé par sécurité dans la psyché, se manifestait à travers le symptôme. Avec la reconnexion de celui qu’on était et de celui qu’on est aujourd’hui, émerge un sentiment nouveau de complétude : le symptôme, devenu inutile, peut alors disparaître.


La personne accompagnée peut être amenée à se pencher aussi bien sur son être passé que sur son être en devenir, ainsi que sur la lignée familiale et humaine dont elle est issue.

En effet, il arrive que des symptômes visent à la réhabilitation de nos ascendants dans une dimension trans-générationnelle.

Ma formation à la Maïeusthésie ( de 2003 à 2006  - niveaux 1 à 3 )

- L’entretien de face à face

- L’assertivité : affirmation de soi dans le respect de l’autre

- Techniques d’écoute et d’entretien en Relation d’aide

- Animation de groupe, conduite de réunion

- Formation de formateur

- Psychologie positive, résilience, stratégies de coping

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La maïeusthésie est reliée aux intuitions de plusieurs chercheurs en psychologie : Jung avec l’idée de Soi et d’individuation, Rogers et Maslow pour leur humanisme, leur approche de l’écoute active, ainsi que l’haptonomie de Veldman, pour son tact délicat allant jusqu’au tact psychique. Pour ne citer que ceux-là.

 

C’est une psychologie de la pertinence, c’est-à-dire qu’elle considère que ce qui se manifeste chez l’individu poursuit un but précis. Le travail du professionnel sera d’amener à la conscience du patient la justesse que le symptôme révèle en lui.

Le symptôme n’est donc pas vu comme un trouble à éradiquer et à combattre, mais un message à écouter et à reconnaître. Le vieux concept de lutte contre le mal est donc revisité et dénoncé. Ce sera le premier travail du praticien : voir le beau en l’Autre, sans jugement, dans une posture d’accueil inconditionnel.

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